La mer

Al rem no'up tiov resnad... c'est du Français à l'envers... la mer qu'on voit danser, de Charles Trenet. Mais aussi "Raconte-moi la mer" par Jean Ferrat... "Ma Méditerranée" de Herbert Pagani disparu en pleine jeunesse... "Et je reste des heures à regarder la mer" d'Alain Barrière... ils sont innombrables celles et ceux qui ont chanté l'infinie et fascinante mobilité du monde marin.
Quelle vie, si différente de la nôtre, abrite l'océan? Comment expliquer la magie qu'il opère en beaucoup d'entre nous?
La mer bienfaisante mais pas toujours. Du temps de leur vivant, on dut en parler en d'autres termes aux rescapés du Titanic ! Et Victor Hugo nous présente la mer comme un élément impitoyable contre lequel l'homme doit se battre pour gagner sa pitance et par la faute duquel il doit parfois mourir...
Charmeuse et cruelle la mer quand un jour elle décida de garder à jamais pour elle François de Roubaix, compositeur de musique, et...  plongeur expérimenté.
Mais tellement attrayante et souriante quand elle signifie aussi "vacances" et susurre à l'oreille des enfants que nous sommes restés "châteaux de sable", "baignades", "immense liberté", "famille allongée sur le sable", "premières amours"...
Eh oui ! ôtez la mer, vous ôterez la vie. C'est pour cela que malgré ses humeurs et à cause de ses atouts, nous devons la respecter...
(copyright Jean-Michel Cagnon)